36 x 36 po — Collage mixte sur empreinte originale d’égout de la Ville de Montréal
Crise du logement détourne un symbole urbain familier pour révéler une tension bien réelle : l’amour de Montréal… et la difficulté d’y habiter. À partir d’une empreinte authentique de couvercle d’égout — matrice emblématique de son projet Empreintes Urbaines — l’artiste construit un collage brut et expressif où se rencontrent cartes de la ville, plâtre, painter’s tape, papier peint déchiré et charnières de porte.
Ces matériaux, souvent associés à la réparation, au déménagement ou à la précarité domestique, deviennent ici des marqueurs poétiques du quotidien montréalais. Au centre, l’inscription « I LOUE MONTREAL » joue volontairement sur l’ambiguïté entre louer et aimer, exprimant avec humour et lucidité la réalité d’une métropole où l’attachement affectif se heurte à un marché locatif en crise.
L’œuvre fusionne esthétique urbaine, commentaire social et textures récupérées pour créer un portrait vibrant d’une ville aimée, habitée, parfois subie — mais toujours source d’inspiration.
36 x 36 po — Collage mixte sur empreinte originale d’égout de la Ville de Montréal
Crise du logement détourne un symbole urbain familier pour révéler une tension bien réelle : l’amour de Montréal… et la difficulté d’y habiter. À partir d’une empreinte authentique de couvercle d’égout — matrice emblématique de son projet Empreintes Urbaines — l’artiste construit un collage brut et expressif où se rencontrent cartes de la ville, plâtre, painter’s tape, papier peint déchiré et charnières de porte.
Ces matériaux, souvent associés à la réparation, au déménagement ou à la précarité domestique, deviennent ici des marqueurs poétiques du quotidien montréalais. Au centre, l’inscription « I LOUE MONTREAL » joue volontairement sur l’ambiguïté entre louer et aimer, exprimant avec humour et lucidité la réalité d’une métropole où l’attachement affectif se heurte à un marché locatif en crise.
L’œuvre fusionne esthétique urbaine, commentaire social et textures récupérées pour créer un portrait vibrant d’une ville aimée, habitée, parfois subie — mais toujours source d’inspiration.